Fabien MAURY

C'est avec le cœur lourd que j'écris ces mots, l'annonce de votre immense perte m'a bouleversée.
Je partage votre peine et votre chagrin.
Je vous souhaite tout le courage nécessaire pour traverser cette épreuve.
Mes pensées les plus sincères vous accompagnent.
Sylvie si tu as besoin de parler, je suis là.
Avec toute mon affection.
Huguette

Fab,

Mon ami anti-conformiste, râleur, blagueur, aux milles idées, toujours prêt à tester de nouvelles choses. Mais surtout, mon ami au coeur immense.

On en a vécu des choses, en 20 ans. J'ai tellement de souvenirs avec toi. Beaucoup font partis de mes plus beaux souvenirs. Ceux qui restent à jamais gravés dans la mémoire et dans le cœur :
Nos années d'études à Aurillac et à Gphy.
Notre soirée à Montpellier où j'étais en stage quelques jours avant que tu partes pour le tiens en Angleterre.
Mais aussi nos aventures au Burkina en moto, à dos de dromadaire, les traverser de gués inondés, les nuits à la belle étoile dans les dunes du Sahel, les négociations avec les marchands du marché de Bobo, nos essais à la cuisine locale plus ou moins concluant.
Et tellement d'autres encore.

Mon ami, j'aurais aimé être à tes côtés aujourd'hui. Mais même si je ne suis pas là, mon cœur et mes pensées sont avec toi.

Je n'ai pas les mots pour dire à quel point tu vas me manquer.

À toi, mon cher Fab,

À toi, notre pirate au cœur tendre, amateur de vieux rock qui grince, de punk à chien, et de tout ce qui fait hurler les guitares et vibrer l’âme.

Toi l’anti-conformiste magnifique, le mec qui râlait avec style, qui pensait fort et vivait encore plus fort.

Avec toi, j’ai passé mes plus belles années d’études…
C’était pas toujours studieux — on révisait nos partiels la nuit, pendant la semaine des partiels, parce que, soyons honnêtes, on était bien trop feignants pour bosser pendant les vacances !
Mais qu’est-ce qu’on a ri, discuté, traîné, vécu.

Mes premières soirées, mes premiers pogos en fosse, mes premières discussions sans fin sur tout, sur rien, sur le monde et pourquoi les pizzas froides, c’est finalement pas si mal… c’était avec toi.

Même si la vie a un peu brouillé nos chemins, sache que tu es et resteras toujours une partie de moi.
Tu me manqueras plus que les mots ne peuvent le dire.

Je t’aime fort, Fab.

C'est avec empathie et amitiés que je prends part à votre chagrin.
Je suis avec vous par la pensée dans cette douloureuse traversée
Avec ma plus profonde amitié
Jeanne